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Tinange & Tinamour…né tèm alf ! Tinange & Tinamour…né tèm alf ! Nos poèmes… Un ange Toi le roi de ces créatures aux blanches ailes, C’est à toi que revient la lourde tâche de choisir, De l’aider à vivre ou le laisser mourir, Depuis peu il s’est fait couper les ailes. Toi le roi de ces êtres innocents, Envoie-lui un de tes petits anges, Eloigne le de ces gens étranges, Pour qu’il puisse vivre normalement. Toi le roi des gardiens du bien, Aide le à surmonter cette épreuve, Fais de lui un de tes chef d’œuvre, Surtout ne le laisse pas sans rien. Toi le roi de ces astres qui enivrent, Tu as su le sauver, lui rendre son corps, Grâce à toi, j’ai la force d’y croire encore, Je te promets qu’il va aimer vivre. Tu as fait de lui un petit ange, Aujourd’hui ça le dérange, Lui qui ne t’avais rien demandé, Il voudrait à son tour pouvoir aider, Mais il y a tant d’âme à sauver. Publié dans : mes poèmes | le 12 juillet, 2006 | Pas de Commentaires » -- Trahison Celui-ci n’est pas vraiment un poème… mais je pense que cela ne change pas le contenu et le sens du texte… Il a abusé de toi Toi qui te sentais si mal Mal a force d’avoir peur Peur de l’inconnu Inconnu qui ta fait ça Ca qui t’a traumatisé Traumatisé car tu le connaissais Connaissais est le bon mot Mot que tu as reçu auparavant Auparavant tu avais confiance en lui Lui qui t’avais tant appris Appris a vivre Vivre était la seule chose dont tu avais envie Envie de mourir Mourir est la seule chose que tu puisse faire Faire tes adieux Adieu aura été ton dernier mot. Publié dans : mes poèmes | le 12 juillet, 2006 | Pas de Commentaires » -- Tinamour & Tinange Depuis le temps qu’on se connaît, Beaucoup de mots ont été prononcé, Il serait temps de prendre une décision, Pour voir si nous avions raison, Tu m’as demander de t’aimer, j’ai tout de suite accepter, On s’est juré fidélité, rien ne pourra nous séparer. Nous sommes depuis comme deux hirondelles, A qui on aurait libéré les ailes, Nous nous sommes envolés vers un monde merveilleux, Un lendemain, une vie à deux, Le cœur abîmé d’un lourd passé, il a fallut le réparer, Nous y sommes arrivés, on a fini par oublier. Depuis des mois se sont écoulés, et plusieurs envies sont arrivées, Celle de cohabiter, de pouponner, de se fiancer, et de se marier, Mais avec quel argent aurions-nous pu y parvenir, Sans travail, c’est une vie sans avenir, Nous sommes encore dans les études, Mais nous avons changé nos habitudes. Nous allons enfin avoir notre appartement, Fini les temps passés chez papa-maman, Maintenant c’est notre nid douillé à nous, On y aura notre petit bout, Le boulot c’est ce qui fait vivre, On aura pas toujours les vivres. Des projets sont en cours de réalisation, Qui mettront au grand jour notre passion, Tu vas me demander de me fiancer, Et bien entendu je ne vais pas refuser, Réunis en famille pour se dire oui, C’est cela que nous voulons aujourd’hui. Plus le temps passe et plus nos envies se concrétisent, C’est pour cela qu’on en a assez d’entendre des sottises, Nous allons nous marier et serons heureux pour l’éternité, Avec nos petits bébés, qui seront notre reflet, Pas la peine de nous monter l’un contre l’autre, Nous ne sommes rien l’un sans l’autre. Publié dans : mes poèmes | le 12 juillet, 2006 | Pas de Commentaires » -- Sensualité Un matin, une journée, un soir, une nuit, Une douce chaleur s’empare de nos corps, Elle danse dans la pièce, en tournoyant, Elle fini par nous donner le tournis, On se sent tout à coup moins fort, On s’allonge au paradis. Ta main me frôle, je me sens si drôle, Tout à coup, un frisson m’envahit, Je suis trahit, il se dessine sur ma peau, J’ai des ailes et je m’envole, Mon cœur s’emballe petit à petit, Maintenant je perds le contrôle, Je me rapproche de ton corps et ton âme, Je dépose délicatement un baiser, Sur le bord de tes lèvres humides, Si près de moi tu aperçois la flamme, Tu n’as qu’une envie c’est de te brûler, Te faire soigner par ta femme. Le moment tant attendu arrive sans plus tarder, Nos deux cœurs battent à l’unisson, Les yeux dans les yeux, on se comprend, Nos deux corps se mettent à trembler, Un sourire, un je t’aime, une déclaration, C’est le moment pour nous de s’envoler. Publié dans : mes poèmes | le 12 juillet, 2006 | Pas de Commentaires » -- Querelle Une amitié était possible, Tout était si paisible, Mais qu’a t-il bien pu se passer, Nous qui nous étions rapproché. Tout a fini par foutre le camp, A quoi bon réagir maintenant, Le temps va finir par passé, Et l’on va vite s’oublier. Loin les uns des autres, On arrêtera de se quereller, On oubliera le passé, Nous vivrons notre vie et vous la votre. Maintenant plus la peine de discuter, Il faut bien un jour y mettre terme, Alors maintenant les portes se ferment, Aujourd’hui tout est terminé. Publié dans : mes poèmes | le 12 juillet, 2006 | Pas de Commentaires » -- Pardon Ce n’est pas vraiment un poème mais bon… Si je t’ai fais mal, si j’ai blessé ton coeur, si je fus méprisable. Je te demande pardon. Je viens vers toi, je m’approche de toi, Le coeur contrit, le coeur serré, Pour te dire, pour te dire encore pardon!!!. Le printemps succède à l’hiver, Donne moi je t’en prie le printemps de ton coeur. Je t’aiderai à chasser les nuages, Je t’aiderai à rendre notre ciel tout bleu. Laisse-moi te faire oublier, Laisse-moi te dire : je t’aime! Et que demain efface le passé. Publié dans : mes poèmes | le 12 juillet, 2006 | Pas de Commentaires » -- Maux Je voudrais tant que tout s’arrête, Que l’on suspende ces prises de tête, Nous ne sommes pas des bêtes, Alors pourquoi ils s’entêtent. Je me demande encore pourquoi, Le sort s’acharne sur nous comme ça, Le monde est dur et je nous vois, Subir trop de chose à la fois. J’espère que demain pour toujours, Ils cesseront de vouloir détruire notre amour, Oseriez-vous penser un jour, Que nous ferions demi-tour. Tous mes écrits, mes sentiments, Tout cela est une perte de temps, Nous sommes entourés de serpents, Il faut que l’on sorte de ce guet-apens. Combien de lendemain cruel, Ses tourments sembles éternels, Désirent-ils brûler nos ailes, Nous qui sommes si frêles. Notre seule issue c’est l’évasion, Il faut sortir de cette prison, Tout brûler de ses démons, Qui nous feront perdre la raison. Publié dans : mes poèmes | le 12 juillet, 2006 | Pas de Commentaires » -- Famille La famille est quelque chose d’intriguant, Etre aimé de sa famille c’est important, Ne pas l’être c’est écœurant , Abandonné, trahit par ses parents, C’est ça le plus désobligeant, Dans les bons comme les mauvais moments, Que ce soit pour des problèmes d’argent, La famille est toujours la au bon moment, C’est elle notre meilleur confident, Elle s’occupe de vous à ses dépends, Que vous réussissiez correctement, Pour elle c’est le plus gratifiant. La famille est votre ennemi cependant, Si vous ne vous entendez pas moralement, Elle peut vous nuire volontairement, Ce qui est le plus agaçant, C’est que vous avez des sentiments, Envers tous ses parents, Vous sentez bien qu’on vous ment, Vous leur en voulez inconsciemment, Mais vous ne voulez pas de bain de sang, Alors vous vous taisez en attendant, Que l’un d’eux se trahisse involontairement, Et la vous sortirez gagnant. Publié dans : mes poèmes | le 12 juillet, 2006 | Pas de Commentaires » -- Déclaration Mon amour, Tu le sais je t’aime à la folie Nous allons nous fiancer Puis nous marier Et enfin fonder notre famille. Tout ce dont je rêvais Tu me l’as apporté Tout ce que je souhaite maintenant C’est que notre histoire Dure une éternité. Le jour ou tu me l’as déclaré Tu as su que je serais à tes côtés Et que je pourrais t’aider A surmonter ton passé. Tout ce qui nous reste a faire C’est de leur prouver a tous Qu’on avait raison d’y croire Et eux tort d’en douter. Je t’aime Publié dans : mes poèmes | le 12 juillet, 2006 | Pas de Commentaires » -- Bébé Un peu de toi… Je veux avoir un peu de toi… Un petit être qui te ressemble Quelque chose de toi et moi… Un peu de toi, un beau mélange! Je veux avoir un peu de to